8 août 2009

Un peu, bocaux, pas du tout

Ce n'est pas un secret, je n'aime pas les insectes, surtout les machins qui volent ( les rampants me dérangent moins).
Je sais qu'ils sont utiles pour des tas de raisons, l'écosystème tout ça tout ça. Je n'écrase pas les "bêtes à bon dieu", je m'extasie de temps à autre à la vue d'un papillon, d'une libellule ou encore d'une jolie toile d'araignée en plein soleil (voire d'une colonie de fourmis en plein labeur) mais ça s'arrête là.
Chacun chez soi, voilà pourquoi je ne lirai pas ce roman :


Mouches, moustiques, scarabées, papillons, guêpes et abeilles sont les héros du dernier roman de Dom Dayau. Non, vous ne rêvez pas ! Les diptères et autres coléoptères sont bien au centre de l'intrigue de « Serial piqueur », le premier roman d'une série de polars entomologiques.

L'histoire est celle d'une équipe de spécialistes des insectes qui apporte son concours à des enquêtes policières. Une sorte d'experts des petites bêtes. Des petites bêtes qui peuvent se révéler très utiles.


Personnellement, j'ai eu mon compte avec Gil Grissom, plus de bestioles chez moi ( pas même ces prétendues guêpes qui envahissent l'ULB et ses alentours...heu elles sont où vous dites?)



2 commentaires:

  1. "les rampants me dérangent moins"?!
    tu plaisantes ou quoi?
    t'as déjà vu un vrai cafard?

    je déteste les moustiques, mais à côté des cafards...

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  2. Oui oui j'ai déjà vu plein de cafards qui grouillaient partout( au Cercle de Droit palalala)mais tant que ça ne peut pas me voler dans l'oeil ou en bouche, " je gère" on va dire^^

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